Dynasty

Par curiosité, j'ai décidé de jeter un oeil à quelques anciens épisodes de DYNASTY, à l'époque où ROCK HUDSON avait rejoint la série. Je n'avais jamais vu un seul épisode de cette série réputée, étant donné que je n'étais même pas né quand elle battait son plein.

Mon intérêt pour certains épisodes avec Rock Hudson a été piqué après avoir visionné un de ses films rares, "TWILIGHT OF THE GODS", de 1958, diffusé sur TURNER. Je dois dire qu'il était un véritable héros à l'écran, ce qui a éveillé ma curiosité à son égard lorsqu'il a été diagnostiqué du SIDA. J'ai lu sur le traumatisme de LINDA EVANS, qui était romantiquement impliquée avec le personnage de Hudson dans Dynasty. Les célèbres baisers des deux ont provoqué un tollé dans la société des années 80, alors que l'on avait encore une compréhension imparfaite de la façon de contracter le SIDA. Cela a causé le traumatisme de Linda Evans. Elle n'aurait pas eu à s'inquiéter, sachant tout ce que nous savons sur le SIDA 40 ans après la pandémie, mais il était difficile de rassurer ceux qui avaient peur de tout contact avec une personne paraissant malade.

À quel point ces craintes devaient être réelles - après tout, à la mi-juin 2021, nous avons traversé notre propre pandémie cauchemardesque de COVID qui a changé la vie de chacun à l'échelle mondiale.

Mais revenons à DYNASTY. La série n'était, de toute évidence, rien d'autre qu'une version glorifiée d'un soap opera en prime time - un programme qui, apparemment, tenait presque tout le monde rivé à leur écran. Je ne peux pas dire qu'il y avait grand-chose de bon ou d'intéressant dans les épisodes que j'ai vus. Les scénarios étaient assez banals, les performances moyennes, et on pouvait voir une nette séparation entre les personnages bienveillants et ceux au caractère plus malicieux. Les somptueux décors et les incroyables costumes portés par les actrices principales étaient mêlés à tout cela, mais il ne faut pas oublier que le producteur Aaron Spelling a créé une véritable sensation à cette époque.

Quoi qu'il en soit, ces épisodes n'étaient pas vraiment ma tasse de thé. Ils ressemblaient plutôt à ma tasse de poison.

Pour une série de mélodrame aussi durable et la nostalgie que ressentent les gens de la génération de mes parents pour cette émission, je serai indulgent et donnerai un "5".

"Dynasty", la grande rivale de "Dallas" ou la rivalité entre les deux villes "D" (Dallas et Denver) "Dallas" avait son J. R.," Dynasty" avait son Alexis avec Joan Collins. De bons moments de télévision, les intrigues bien ficelées savaient maintenir l'intérêt. Je préférais "Dallas" malgré tout!